REPAJOSEC-TOGO

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LOME COMMUNE  I

Notre passage au  centre de recensement électoral au CEG Nyékonakpoe Lomé, nous amène à faire certains constats qui freine le travail aux quels  sont soumises également les populations. Une triste expérience, le notable près du CLC1 dans l’après midi du samedi 19 Avril 2013 est tombé évanoui suite à une fatigue selon l’infirmier du quartier. Le Président du CLC5, refuse l’entrée dans la salle de l’observateur faute de badge d’après sa formation. Dans le centre de recensement du lycée d’avédji, au niveau  du CLC3, absence de fiche du passage des observateurs  du 12 Avril 2013 au 25 Avril 2013.

Dans presque tous les centres de recensement électoral, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine une dizaine qui réussit à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement ».

Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI ne réagissent pas. Ce qu’ils trouvent à dire, c’est de prendre ceux qui dénoncent ces graves irrégularités pour des affabulateurs.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification, déplacement  et sécurité)

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LOME COMMUNE  II

Un tour dans les centres de recensement électoral à Lomé fait constater l’amère expérience à laquelle sont soumises les populations. Dans certain centre de recensement, seulement peut se prévaloir d’avoir des machines qui fonctionnent normalement. Mais là aussi, les populations sont confrontées à la lenteur des opérateurs de saisie.

Dans presque tous les centres de recensement électoral, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine une dizaine qui réussit  à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement ». Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI ne réagissent pas. Ce qu’ils trouvent à dire, c’est de prendre ceux qui dénoncent ces graves irrégularités pour des affabulateurs.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification, déplacement  et sécurité)

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LOME COMMUNE  III

Dans le centre de recensement, comme celui de la gendarmerie national qui a abrité (2) deux kits, nous a fait constater l’absence du notable, le port des gilets par des OPS . Au niveau du CLC 3 du même centre, il y a une désorganisation dans l’enrôlement de la population également au niveau du centre de recensement EPP Akodessewa  CLC 16, le scanner n’a pas fonctionné  pendant 48 heures.

 Dans presque tous les centres de recensement électoral, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine une dizaine qui réussit à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement.

Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI ne réagissent pas. Ce qu’ils trouvent à dire, c’est de prendre ceux qui dénoncent ces graves irrégularités pour des affabulateurs.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification,
• déplacement  et sécurité)

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LA PREFECTURE DE L’AVE 

Notre présence aux centres de recensement électoral dans la préfecture de l’Avé  plus précisément EPC Assahoun  à Avé  fait constater  l’absence de matériels de travail, le dynamisme des OPS pour l’enrôlement rapide de la population. Dans le centre de recensement, comme celui de l’EPP Batoumé toujours dans le canton d’Assahoun , le premier jour n’a pas connu d’affluence manque de sensibilisation de la population . Dans le canton d’ Ando au niveau du village de Taklavé au niveau  CRV de l’EPP de Taklavé , la condition de vie des OPS est déplorable . Dans le canton de Badja , les représentants de certains partis politiques non identifiés ont semé  de la zizanie en prenant le jour de recensement comme jour de campagne électorale. 

Dans presque tous les centres de recensement électoral dans l’Avé, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine un petit nombre  qui réussit à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement.

Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI Avé ne  réagissent pas.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification, déplacement  et sécurité)

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LA PREFECTURE DE ZIO 

Un tour dans les centres de recensement électoral dans la préfecture de Zio , au niveau du CRV Mairie dans le local administratif  fait constater un laisser aller dans l’enrôlement de la population : c'est-à-dire ,plus de vérification concrète des pièces d’identités de certaines personnes compte tenu de leur copinage . Dans la préfecture,  certain centre de recensement, peut se prévaloir d’avoir des machines qui fonctionnent normalement. Mais là aussi, les populations sont confrontées à la lenteur des opérateurs de saisie. Nous avons assister aussi dans le canton d’Agbelouvé plus précisément au CRV EDIL Foulanikondzi à une campagne électorale et à une campagne de recensement électoral. Toujours dans le canton à EPP Gamélili , nous avons observé un retard de démarrage du recensement le troisième jours avec l’absence d’un OPS  formé pour la cause . Plus loin à Bolou plus précisément à l’EPP ALOKOEGBE  au CRV Alokoegbé – Yodamé , nous avons assister aussi les mêmes scènes sur le retard du démarrage du recensement avec un kit en panne . Ainsi qu’à Gamé centre plus précisément à EPP Nyassivé .  

Dans presque tous les centres de recensement électoral, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine une dizaine qui réussit à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement.

Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI ne réagissent pas. Ce qu’ils trouvent à dire, c’est de prendre ceux qui dénoncent ces graves irrégularités pour des affabulateurs.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification, déplacement  et sécurité)

OBSERVATION DU RECENSEMENT DANS LA ZONE II POUR LE COMPTE DE  LA PREFECTURE DE HAHO 

La présence de l’observateur du REPAJOSEC chargé de la préfecture de HAHO , fait constater  dans le canton de Dalia au CRV Sodjakopé  d’énormes difficultés  dans l’enrôlement de la population du centre : c'est-à-dire  le lenteur de l’OPS et aussi l’échauffement du  scanner .

 Dans certain centre de recensement, à savoir Agokpa , EPP Kponou , magasin NSCT au CRV dans la localité Kpévou, Tchékouni-kopé (SOUS APATAM) et dans le canton de Notsè toujours dans la même préfecture au CRV Missahome  seulement peut se prévaloir d’avoir des machines qui fonctionnent normalement. Mais là aussi, les populations sont confrontées à la lenteur des opérateurs de saisie.

Dans presque tous les centres de recensement électoral, l’on n’est pas à l’abri des difficultés liées aux machines qui tombent régulièrement en panne. Ce qui fait qu’à la fin de la journée, un petit nombre seulement d’électeurs est enrôlé.

Du coup, la mobilisation qui est remarquée dans les centres faiblit et un grand nombre de gens retournent à la maison sans se faire établir la carte d’électeur. En outre, la plupart de ces centres sont fermés avant 16 heures.

Les agents recenseurs évoquent souvent le problème de la luminosité qui fait défaut pour la bonne qualité des photos. Devant des bureaux, on observe des queues interminables de gens qui veulent se faire enrôler. Mais à la fin de la journée, c’est à peine une dizaine qui réussit à se faire enregistrer.

Le reste est obligé de retourner, sans être sûr que la situation serait moins pénible le lendemain. Le comble reste l’incapacité des opérateurs de saisie à reproduire l’identité des électeurs sans faute. « Apparemment, ces messieurs ne maîtrisent pas les claviers d’un ordinateur malgré des séances de formation qui ont été organisées à l’intention de ces OPS avant le démarrage du recensement.

Cependant, devant toutes ces irrégularités lors ce processus de recensement électoral, les responsables de la CELI ne réagissent pas. Ce qu’ils trouvent à dire, c’est de prendre ceux qui dénoncent ces graves irrégularités pour des affabulateurs.

IDEE :

Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

Remarques :

• Absence des partis politiques sur le terrain d’observation
• Manque de moyens aux observateurs sur le terrain d’observation (identification, déplacement  et sécurité)

CONCLUSION GENERALE

Selon les observateurs du Réseau Panafricain des journalistes pour la supervisons des élections et la lute contre la corruption (REPAJOSEC –TOGO) autorisés sous le numéro 004/2013/P/CENI a observé le recensement électoral dans la zone II depuis 12 Avril 2013, déclare :

1-      Manque de sensibilisation de la population pour  le recensement  général

2-      Manque de volonté des partis politiques  à sensibiliser leur base

3-      Manque de communication dans les CELI

4-      Absence des partis politiques sur le terrain

5-      Absence de certains observateurs accrédités  auprès de la CENI

6-      Manque de dynamisme des OPS

7-      Selon REPAJOSEC, il serait donné encore plus de temps. Une manière de permettre à toutes ces personnes qui désirent se faire enrôler, mais qui sont confrontées aux anomalies qui entourent l’opération, de pouvoir le faire.

NB : Ce ci permettrait une volonté politique pour un pays de paix et démocratique.

Autorisation numéro 004/2013/P/CENI du 10 Avril 2013

Pour l’équipe des  observateurs du REPAJOSEC

                                                                                                      Le Président,                        

                                                                                                  AGBOZOH-GUIDIH Y.Dodzi

Elaboré au siège du  REPAJOSEC, le 06 Mai 2013